CroisiEurope: Inauguration de 3 nouveaux bateaux
23 mars 2014
Communiqué de presse CroisiEurope
Ce matin à 11 heures, CroisiEurope a inauguré trois nouveaux bateaux à la Gare Fluviale de Strasbourg : Le MS Lafayette, et deux péniches la Madeleine et l’Anne-Marie. Autour de la famille Schmittter, près de 300 invités étaient réunis pour le baptême réalisé par la Père Koehler, recteur du Monastère du Mont Sainte-Odile. Madame Mary Rose Reade, épouse du Consul Général des USA à Strasbourg et Monsieur Jean-Pierre Mas, PDG de Sélectour- Afat ont fait l’honneur d’être marraine et parrain du MS Lafayette qui naviguera sur le Rhin. Monsieur Camille Scheydecker, Maire de Soufflenheim était présent en hommage à Madeleine Schmitter, la maman des quatre dirigeants, originaire de cette commune. La péniche Madeleine naviguera sur les canaux d’Alsace. Madame Anne-Marie Schmitter a représenté la péniche portant son nom qui naviguera sur le canal de Provence. A l’issue des discours, une visite des trois bateaux a été initiée par Christian Schmitter, le PDG de la compagnie suivi de tous ses invités. Un cocktail puis un déjeuner ont été organisés pour célébrer ces festivités dans la bonne humeur et le partage.
Communiqué de presse de l’inauguration
Communiqué de presse sur le MS Lafayette
Dossier de presse CroisiEurope 2014
Brochure 2014: Croisière sur le Rhin
Port Autonome de Strasbourg – Communiqué de presse
31 janvier 2014
Le 31 janvier 2014, Catherine Trautmann, présidente du Port autonome de Strasbourg, a accueilli, à l’auditorium du Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg, le personnel autour des médaillés du travail et des réalités de l’année lors de la traditionnelle cérémonie du Nouvel an.
SMSR : les deux associations font front commun
21 décembre 2013
« Face à l’adversité, nous avons décidé de travailler ensemble pour défendre nos valeurs communes: la voie d’eau et l’interconnexion des bassins ». Françoise Branget, qui était le 12 novembre dernier à la réunion de l’association Seine-Moselle-Rhin-Rhône, l’a confirmé à l’occasion de l’assemblée générale du Consortium international pour le développement des voies navigables.
Le projet de canal Saône-Rhin en appelle à l’Europe
18 décembre 2013
Le projet de canal Saône-Rhin en appelle à l’Europe
On pensait que la mise aux oubliettes de la liaison fluviale Saône-Rhin/Saône-Moselle par le gouvernement aurait raison de l’opiniâtreté de ses défenseurs en Alsace et Franche-Comté. Et bien non.
Transport fluvial: À quand la liaison Rhin supérieur-Méditerranée ?
14 décembre 2013
Transport fluvial À quand la liaison Rhin supérieur-Méditerranée ?
L’écluse ultra-moderne de Niffer. Archives Darek Szsuter
Le consortium international pour le développementdes voies navigables s’est offusqué du rapport Duronsur la commission Mobilité 21, qui repousse le développement d’infrastructures fluviales nord-sud à 2050.Lors de sa dernière assemblée générale, l’association mulhousienne a pointé du doigt les effets du rapport du député PS Philippe Duron présenté en juin dernier. « Les voies navigables sont le parent pauvre des infrastructures ! Pourtant, c’est une alternative au tout-camion qui pollue beaucoup moins », s’insurge Françoise Branget, présidente-déléguée du consortium international pour le développement des voies navigables et représentant le conseil régional de Franche-Comté au sein de l’association.
« Beaucoup trop loin »
Le consortium, dirigé depuis 2011 par Philippe Richert, président du conseil régional d’Alsace, s’est donné pour principa-le mission la promotion de la liaison fluviale Rhin supérieur-Méditerranée. « 2050, c’est beaucoup trop loin ! Qui sait ce que nous ferons dans 35 ans ? », s’interroge Philippe Richert.
La réalisation d’une liaison fluviale de gabarit européen entre les bassins du Rhin et du Rhône constitue, selon le consortium, « l’un des grands projets stratégiques européens en matière d’infrastructures de transport ». « Nous allons être – ringardisés au niveau européen. Nous ne pouvons pas jouer au premier rôle si nous ne disposons pas des infrastructures », estime le président du consortium. « L’Alsace et la Franche-Comté n’ont pas vocation à rester le couloir routier de cette partie de l’Europe », renchérit Françoise Branget.
Le consortium demande que le projet « Saône-Moselle/Saône-Rhin », qui figure dans le texte de la loi Grenelle de l’environnement de 2009 et qui a été confirmé par l’Union européenne, soit remis sur les rails et avancé à 2030. L’association craint que le projet, stoppé en phase d’études, ne puisse plus bénéficier des fonds européens – pouvant aller jusqu’à 40 % du budget total – qui sont pourtant alloués au développement des voies navigables.
Fabienne Delaunoy
« L’Alsace » du 14/12/2013L’union fait la force
07 décembre 2013
Navigation Projet Saône-Moselle/Saône-Rhin: L’union fait la force
Les deux consortiums pour le développement des voies navigables actifs dans l’Est ont décidé d’unir leurs forces pour que le projet Saône-Moselle/Saône-Rhin puisse voir le jour d’ici 2030.Réuni en assemblée générale, jeudi, à la Maison de la région à Strasbourg, le Consortium international pour le développement des voies navigables, qui milite pour la branche Saône-Rhin supérieur au sein du projet Saône-Moselle/Saône-Rhin (SMSR), s’est insurgé contre les recommandations faites en juin dernier par la commission Mobilité 21. Chargée par le gouvernement de hiérarchiser les projets d’infrastructure, celle-ci a préconisé de repousser la réalisation de la liaison grand gabarit SMSR à l’horizon 2050.
« Les infrastructures prévues sont indispensables, car notre territoire a besoin d’être interconnecté à toutes les régions qui se développent en Europe », a déclaré Philippe Richert, président de la région Alsace et président du consortium. « Cela semble surprenant de tout arrêter, alors que le Grenelle de l’environnement a donné la priorité au transport fluvial. Ce projet est également inscrit par l’Union européenne parmi les priorités du réseau de transport central pour 2030 », ajoute Françoise Branget, conseillère régionale UMP de Franche-Comté et présidente déléguée du consortium.
Aides européennes sous condition
Par conséquent, le consortium souhaite que le gouvernement révise le calendrier pour revenir à l’échéance de 2030 et bénéficier par la même occasion de cofinancements européens (de 10 à 40 % du montant de l’investissement). À court terme, le consortium demande à VNF d’achever les études en cours, suspendues au lendemain du rapport de la commission Mobilité 21, tout comme le débat public, et de présenter un rapport d’étape sur leur avancement. « Cela permettra une décision politique éclairée quant à l’opportunité et à la faisabilité du projet », note Mme Branget.
En attendant, le consortium piloté depuis la CCI de Mulhouse et l’association Seine-Moselle-Rhône que préside le maire de Nancy, André Rossinot (UDI), et qui défend la branche Saône-Moselle, ont décidé d’unir leurs forces à l’avenir. « André Rossinot nous a tendu la main début décembre. Il faut voir maintenant quelle forme cela prendra », a confié Mme Branget.
X. T.
Dernières Nouvelles d’Alsace du 07.12.2013